Sommaire du journal N°50 - Février/Mars 2002
Chers lecteurs,
Le scandale a enfin éclaté à Montalivet. Cela fait un bon moment déjà que l'affaire couvait. Depuis l'intrusion, il y a plus de deux ans, d'un groupe de financiers dont on ne savait pas trop d'où ils venaient et avec quel argent ils avaient pu racheter, peu à peu, les actions d'un certain nombre de sociétaires de la Socnat, la société gestionnaire du CHM, jusqu'à en prendre le contrôle.
Il est vrai que le fruit était mûr. D'année en année, en effet, la situation s'était dégradée à la Socnat, qui avait connu, avant l'arrivée des "financiers", cinq P-DG en cinq ans et où la gestion manquait, pour le moins, de transparence. On se souviendra, pour l'anecdote, de ce procès ahurissant que nous avait intenté, en 1997, le P-DG de l'époque qui voulait nous interdire, en référé, de publier un article sur la radiation, par le préfet, du classement Village de vacances d'une partie du CHM. La Socnat avait été, bien entendu, déboutée et condamnée aux dépens.
La Socnat était donc, depuis longtemps, un bateau ivre qui attendait un capitaine, mais pas des flibustiers.
Il va falloir maintenant que les naturistes "historiques" et les sociétaires les plus actifs reprennent les choses en mains pour restaurer l'image de Montalivet. Ce qui donnera lieu, sans doute, à de sérieuses mises au point dans les instances nationales du naturisme qui ont admis Christian Philippo au conseil d'administration de la fédération française, et jusque dans les instances internationales. Beaucoup s'interrogent, en effet, sur la caution qu'a apportée le président de la fédération internationale du naturisme, l'Allemand Wolfang Weinreich, au P-DG aujourd'hui incarcéré, en acceptant de faire partie du conseil d'administration de la Socnat.
Claude Fouchier
Le scandale a enfin éclaté à Montalivet. Cela fait un bon moment déjà que l'affaire couvait. Depuis l'intrusion, il y a plus de deux ans, d'un groupe de financiers dont on ne savait pas trop d'où ils venaient et avec quel argent ils avaient pu racheter, peu à peu, les actions d'un certain nombre de sociétaires de la Socnat, la société gestionnaire du CHM, jusqu'à en prendre le contrôle.
Il est vrai que le fruit était mûr. D'année en année, en effet, la situation s'était dégradée à la Socnat, qui avait connu, avant l'arrivée des "financiers", cinq P-DG en cinq ans et où la gestion manquait, pour le moins, de transparence. On se souviendra, pour l'anecdote, de ce procès ahurissant que nous avait intenté, en 1997, le P-DG de l'époque qui voulait nous interdire, en référé, de publier un article sur la radiation, par le préfet, du classement Village de vacances d'une partie du CHM. La Socnat avait été, bien entendu, déboutée et condamnée aux dépens.
La Socnat était donc, depuis longtemps, un bateau ivre qui attendait un capitaine, mais pas des flibustiers.
Il va falloir maintenant que les naturistes "historiques" et les sociétaires les plus actifs reprennent les choses en mains pour restaurer l'image de Montalivet. Ce qui donnera lieu, sans doute, à de sérieuses mises au point dans les instances nationales du naturisme qui ont admis Christian Philippo au conseil d'administration de la fédération française, et jusque dans les instances internationales. Beaucoup s'interrogent, en effet, sur la caution qu'a apportée le président de la fédération internationale du naturisme, l'Allemand Wolfang Weinreich, au P-DG aujourd'hui incarcéré, en acceptant de faire partie du conseil d'administration de la Socnat.
Claude Fouchier
Médoc
- Grand contournement : à l’ouest du nouveau
- Brèves
- Scènes de chasse en hiver
- Le «chiffon rouge» de Natura 2000
- Littoral : les maires resserrent leurs liens
- Comprendre les échouages des cétacés
Vins
- La marque "Bordeaux", nouvelle arme de la profession
- Une nouvelle bouteille pour l’Union des grands crus
- Quand le millésime 1900 fait plus jeune que son âge
- Les Vignerons indépendants s'installent près de Bordeaux
- Bordeaux détrôné sur le marché britannique
- Goût de fraudes sur les Bordeaux
Lacanau
Carcans-Maubuisson
Hourtin
Naujac-sur-Mer
Vendays-Montalivet
- «La Mecque du naturisme» déstabilisée par les affaires
- L'avenir incertain du CHM…
- Tension dans la commune
- Une plainte contre la commune
Grayan-et-l'Hôpital
Soulac-sur-Mer
Le Verdon-sur-Mer
Accédez aux autres sommaires
Commentaires
Courrier des lecteurs
De M. Michel André, propriétaire à Soulac-sur-Mer