Sommaire du journal N°42 - Octobre/Novembre 2000
Chers lecteurs,
Les conséquences de la tempête sont encore plus dramatiques qu'on ne l'imaginait. On pensait avoir sorti de la forêt trois millions de mètres cubes de bois, soit 30% du chablis à terre, avant la fin de l'année. On en sera loin, même si un acheteur indien veut absorber, à lui seul, plusieurs centaines de milliers de tonnes. On est également loin du compte en ce qui concerne les subventions nécessaires au reboisement de la forêt médocaine. Si l'on veut pourtant sauvegarder cette forêt, l'un des trois piliers de l'économie de la presqu'île avec le vin et le tourisme, la solidarité nationale doit s'exercer, même vis-à-vis de certains propriétaires dont la richesse était considérée, il y a peu de temps encore, comme arrogante.
L'estuaire de la Gironde est, on le sait, le plus sauvage d'Europe et bénéficie, à ce titre, de subventions européennes. De nombreuses associations de défense de la nature, des plus prestigieuses aux plus modestes, veillent sur son avenir et se battent pour qu'il soit géré de façon cohérente. Leur dernier combat concerne un projet d'extraction de granulats à la hauteur de Saint-Ciers-sur-Gironde. Au vu de la qualité du collectif que les associations ont constitué, il serait impensable qu'on puisse leur donner tort.
Claude Fouchier
Les conséquences de la tempête sont encore plus dramatiques qu'on ne l'imaginait. On pensait avoir sorti de la forêt trois millions de mètres cubes de bois, soit 30% du chablis à terre, avant la fin de l'année. On en sera loin, même si un acheteur indien veut absorber, à lui seul, plusieurs centaines de milliers de tonnes. On est également loin du compte en ce qui concerne les subventions nécessaires au reboisement de la forêt médocaine. Si l'on veut pourtant sauvegarder cette forêt, l'un des trois piliers de l'économie de la presqu'île avec le vin et le tourisme, la solidarité nationale doit s'exercer, même vis-à-vis de certains propriétaires dont la richesse était considérée, il y a peu de temps encore, comme arrogante.
L'estuaire de la Gironde est, on le sait, le plus sauvage d'Europe et bénéficie, à ce titre, de subventions européennes. De nombreuses associations de défense de la nature, des plus prestigieuses aux plus modestes, veillent sur son avenir et se battent pour qu'il soit géré de façon cohérente. Leur dernier combat concerne un projet d'extraction de granulats à la hauteur de Saint-Ciers-sur-Gironde. Au vu de la qualité du collectif que les associations ont constitué, il serait impensable qu'on puisse leur donner tort.
Claude Fouchier
Médoc
- Pellegrin... chagrin !
- 200 000 tonnes de bois vers l'Inde
- 200 000 tonnes de bois vers l'Inde
- Des sylviculteurs toujours aussi désabusés
- Bernard Amouroux claque la porte du Pays Médoc
- Douze associations s'opposent à l'extraction
- Livres
Vins
Lacanau
- La commune concessionnaire de la plage centrale
- Viabilisation au Petit Moutchic
- Imbroglio pour l'héritage de l'Etoile d'argent
- Brèves
Carcans-Maubuisson
Hourtin
Vendays-Montalivet
Grayan-et-l'Hôpital
Soulac-sur-Mer
Le Verdon-sur-Mer
District Nord-Médoc
Chronique juridique
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Commentaires
Courrier des lecteurs
M. Jean-Claude Chédeville, propriétaire à Carcans-Maubuisson, a envoyé un courrier au président du Conseil général, qu’il nous a également adressé.