Sommaire du journal N°25 - Décembre/Janvier 1997
Chers lecteurs,
La jurisprudence de la loi Littoral est encore incertaine. On sait qu'on n'a pas le droit de construire à moins de 100 mètres du rivage. Mais des jugements interdisent de construire à moins de 500 mètres, 1 000 mètres, voire 1 500 mètres, selon la configuration ou la nature du terrain, selon aussi l'urbanisation existante. A Hourtin, le projet d'un important lotissement a été annulé par le tribunal administratif. Celui-ci n'a pas invoqué la loi Littoral mais il aurait pu le faire. A Lacanau, quatre associations attaquent le permis de lotir du Bernos en soulevant, dans leur requête, plusieurs moyens dont la loi Littoral. Dans la plupart des cas, dans le Médoc comme ailleurs, ce sont des associations de défense de l'environnement qui saisissent les tribunaux administratifs, et il faut bien dire qu'elles gagnent le plus souvent contre les communes. Les maires et les élus, s'ils consultent, en effet, les services de l'Etat - qui devraient d'ailleurs plus souvent les mettre en garde - rechignent à prendre l'avis des associations dont ils contestent la légitimité. Pourtant, peu les sépare car ils défendent, avec leurs convictions, les uns et les autres, le bien commun. Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1998.
La jurisprudence de la loi Littoral est encore incertaine. On sait qu'on n'a pas le droit de construire à moins de 100 mètres du rivage. Mais des jugements interdisent de construire à moins de 500 mètres, 1 000 mètres, voire 1 500 mètres, selon la configuration ou la nature du terrain, selon aussi l'urbanisation existante. A Hourtin, le projet d'un important lotissement a été annulé par le tribunal administratif. Celui-ci n'a pas invoqué la loi Littoral mais il aurait pu le faire. A Lacanau, quatre associations attaquent le permis de lotir du Bernos en soulevant, dans leur requête, plusieurs moyens dont la loi Littoral. Dans la plupart des cas, dans le Médoc comme ailleurs, ce sont des associations de défense de l'environnement qui saisissent les tribunaux administratifs, et il faut bien dire qu'elles gagnent le plus souvent contre les communes. Les maires et les élus, s'ils consultent, en effet, les services de l'Etat - qui devraient d'ailleurs plus souvent les mettre en garde - rechignent à prendre l'avis des associations dont ils contestent la légitimité. Pourtant, peu les sépare car ils défendent, avec leurs convictions, les uns et les autres, le bien commun. Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1998.
Médoc
- Naufrage à l'ouest de Cordouan : deux marins ont péri
- Réorganisation sur la bande FM
- Le fidèle compagnon du jardinier
- Chronique de l'immobilier
- Naujac : pour un meilleur goût de l'eau
- Vensac : un four à pain, à l'ancienne, à la disposition de tous
Vins
Lacanau
- La future mairie de Lacanau-Océan ?
- Lancement des travaux à la base nautique de la Grande Escourre
- La commission publicité
- Le Bernos attaqué
- Statu quo pour la dune nord
- "Les maisons landaises" perdent devant la commune
- Comment éradiquer le Lagarosiphon ?
Carcans-Maubuisson
Hourtin
Vendays-Montalivet
Grayan-et-l'Hôpital
Soulac-sur-Mer
Le Verdon-sur-Mer
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Courrier des lecteurs
De Mme Coudret [Bordeaux], propriétaire au Verdon