Sommaire du journal N°19 - Décembre/Janvier 1996
Chers lecteurs,
La commune de Vendays-Montalivet a acheté les bâtiments de "ancienne colonie de vacances des avions Marcel-Dassault, qui était à l'abandon depuis plusieurs années. La commune de Soulac se porte acquéreur d'une "colo" à L'Amélie, appartenant à une localité de la région parisienne, Le Pré-Saint-Gervais. Ainsi, un peu partout, sur le littoral français, les "colos" disparaissent. Leurs propriétaires ou leurs gestionnaires sont très souvent des communes de banlieue qui avaient choisi d'envoyer à la mer leurs jeunes citoyens et avaient acheté ou loué des emplacements, la plupart du temps, exceptionnels. Mais les colonies de vacances ne sont plus à la mode, pas plus que les internats dans les collèges ou les lycées. Ces lieux d'encadrement - qui se bornent pourtant aux loisirs et à l'instruction - sont considérés, par les jeunes, comme des lieux d'internement. La démission des parents aidant, on arrive à ce paradoxe : on abandonne ces structures d'accueil au moment même où, comme on l'a vu cet été, on "expédie" les jeunes dans les stations du littoral sans hébergement ni encadrement... Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter d'heureuses fêtes et une très bonne année 1997.
La commune de Vendays-Montalivet a acheté les bâtiments de "ancienne colonie de vacances des avions Marcel-Dassault, qui était à l'abandon depuis plusieurs années. La commune de Soulac se porte acquéreur d'une "colo" à L'Amélie, appartenant à une localité de la région parisienne, Le Pré-Saint-Gervais. Ainsi, un peu partout, sur le littoral français, les "colos" disparaissent. Leurs propriétaires ou leurs gestionnaires sont très souvent des communes de banlieue qui avaient choisi d'envoyer à la mer leurs jeunes citoyens et avaient acheté ou loué des emplacements, la plupart du temps, exceptionnels. Mais les colonies de vacances ne sont plus à la mode, pas plus que les internats dans les collèges ou les lycées. Ces lieux d'encadrement - qui se bornent pourtant aux loisirs et à l'instruction - sont considérés, par les jeunes, comme des lieux d'internement. La démission des parents aidant, on arrive à ce paradoxe : on abandonne ces structures d'accueil au moment même où, comme on l'a vu cet été, on "expédie" les jeunes dans les stations du littoral sans hébergement ni encadrement... Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter d'heureuses fêtes et une très bonne année 1997.
Médoc
Vins
- La coupe à Château Pibran
- Citran : les Japonais jettent l'éponge
- New-York : les Américains font monter les enchères
Lacanau
Carcans-Maubuisson
Hourtin
Grayan-et-l'Hôpital
Soulac-sur-Mer
- La décolonisation de vacances
- Modification de Pos adoptée
- Belledombre
- D'où viennent les canons? (suite)
Le Verdon-sur-Mer
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Commentaires
Courrier des lecteurs
M. Jean-Claude Chédeville, propriétaire à Carcans-Maubuisson, a envoyé un courrier au président du Conseil général, qu’il nous a également adressé.