Sommaire du journal N°26 - Février/Mars 1998

Chers lecteurs,
Beaucoup d'élus ont longtemps rêvé d'un pont sur l'estuaire qui aurait désenclavé le Médoc et l'aurait amarré de façon définitive au continent, avec une route à quatre voies, jusqu'à Bordeaux, qui aurait irrigué la presqu'île et créé des entreprises génératrices d'emplois locaux. Le rêve est fini et tout le monde, ou presque, a fait une croix sur le pont. Il faut donc se battre, bon gré mal gré, sur un autre plan, celui d'une nature préservée, près des plus belles plages de l'Atlantique, le long de l'estuaire le moins industrialisé d'Europe. La communauté européenne vient de débloquer 10 MF pour les deux rives de l'estuaire. Natura 2000, loin d'être une malédiction, peut être une chance pour le Médoc. Car si la France est devenue la première destination touristique mondiale, ce n'est pas seulement grâce à ses monuments prestigieux, c'est aussi parce qu'elle est l'un des rares pays à offrir de vastes sites préservés. Et le Médoc est, de ce point de vue, l'un des plus beaux refuges d'Europe.

Médoc

Vins

Lacanau

Carcans-Maubuisson

Hourtin

Vendays-Montalivet

Grayan-et-l'Hôpital

Soulac-sur-Mer

Le Verdon-sur-Mer

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